Je pense parfois aux livres qui n’existeront pas. Ceux des auteurs qui ont renoncé. Ou qui sont morts. À ces livres, on devrait réserver une étagère, vide. Ce serait le minimum.
ETIENNE DAVODEAU
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Je pense parfois aux livres qui n’existeront pas. Ceux des auteurs qui ont renoncé. Ou qui sont morts. À ces livres, on devrait réserver une étagère, vide. Ce serait le minimum.
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