Alors que l’équipe de France se dirige fièrement vers un titre de champion du monde du n’importe quoi, penchons-nous un instant sur les raisons occultes d’une catastrophe annoncée.
Chroniques de la balle au pied
Le football, ça se joue bien sûr, dans la rue, sur un terrain vague ou sur une pelouse. Ça se regarde, dans les tribunes ou devant la télé. Ça s’écrit aussi. Les articles sur l’équipe de France sont désormais hébergés sur mon autre site Chroniques bleues.
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Bleus : les raisons secrètes de l’entropie fatale Et huit fois quatre qui font trente-deux En dix-neuf éditions, la coupe du monde a changé sept fois de formule : à seize équipes, puis vingt-quatre, puis trente-deux, avec ou sans premier tour, avec ou sans quarts de finale... Pendant que le nombre d’engagés passait d’une trentaine à deux cents. Petit comparatif illustré de 1930 à aujourd’hui.
Pourquoi un faux départ des Bleus ne se rattrape pas Vendredi, le match France-Uruguay pourrait déjà être décisif. En effet, jamais les Bleus n’ont gagné de compétition sans vaincre lors de la première rencontre.
Les Bleus sans numéro 10, ça donne quoi ? Depuis l’après-guerre, l’équipe de France n’a joué qu’une coupe du monde sans meneur de jeu. C’était en 1966 en Angleterre, et cette année-là, le Mexique et l’Uruguay avaient largement contribué à éliminer les Bleus d’entrée. Sans un joueur du niveau de Kopa, Platini ou Zidane, la France a-t-elle une chance d’aller loin ?
Les Bleus sous le degré zéro (de latitude) Après sa victoire face au Costa-Rica, c’est dans la nuit du 31 mai au 1er juin que l’équipe de France franchira l’Equateur pour se rendre à la Réunion puis en Afrique du Sud. Depuis 1904, les Bleus n’ont joué que 17 matches dans l’hémisphère sud. La dernière fois, c’était il y a neuf ans. Flash-back historico-géographique sous la latitude zéro.