Guillemette Faure est allée à la Nouvelle-Orléans voir comment les télés américaines ont couvert les suites de l’ouragan Katrina. Et ce qu’elle a vu, outre les scènes d’horreur d’une population pauvre et majoritairement noire littéralement abandonnée par les autorités, n’est pas vraiment reluisant. Certes, (...)