
Un sommet d’humour noir, un chef d’œuvre de mise en scène et de trouvailles visuelles, une réflexion sur le terrorisme et le totalitarisme, une ode à la puissance des rêves... En 1985, Terry Gilliam nous offre un des sommets de l’histoire du cinéma.
Ces films-là, ils m’ont stupéfait, ils m’ont touché au plus profond, ils m’ont donné envie de les revoir, de lire tout ce qui s’est écrit dessus, et finalement d’écrire moi-même. Pour vous donner envie de les découvrir à votre tour.
Un sommet d’humour noir, un chef d’œuvre de mise en scène et de trouvailles visuelles, une réflexion sur le terrorisme et le totalitarisme, une ode à la puissance des rêves... En 1985, Terry Gilliam nous offre un des sommets de l’histoire du cinéma.
Le premier épisode d’une série de dix réalisés par Krzyzstof Kieslowski pour la télévision polonaise dans les années 80. Avec un minimum de moyens mais un maximum d’humanité, une épure impressionnante.
Eastwood et Costner dans la même histoire, avec un gamin déguisé en fantôme au milieu, ça donne un film qui prend constamment la tangente avec les lois du genre.
En prenant un maximum de risques pour un film qu’il a porté à bout de bras, Kevin Costner donne un nouveau souffle au western, en imaginant ce qu’aurait donnée la fusion entre les Sioux et les Blancs.
Atom Egoyan adapte le roman de Russell Banks et réalise un ovni cinématographique. En tête de mon palmarès personnel depuis dix ans.