Prenez un père berbère, une mère lituanienne, des origines séfarades et ashkénazes, une enfance à Marseille, des influences trip-hop, soul et folk, le mélange d’arabe et d’hébreu, une présence vibrante et une voix comme on en découvre deux par décennie : mélangez le tout et vous avez Siska. Pas exactement une petite nouvelle, non, elle a vu le jour l’année de Woodstock (faites le calcul) et a écumé les scènes du monde entier avec Watcha Clan pendant toute une décennie.
Et puis, une nouvelle étape de sa vie a commencé avec la naissance de sa fille. De là, l’envie d’un album solo, avec des choix différents, des rythmes plus lents, le choix de l’anglais, et une plus grande place laissée à sa voix. Avec elle, Supa Clem aux claviers l’a suivie depuis Watcha Clan et la comprend mieux que personne.