
Description au scalpel du milieu du spectacle des années cinquante, le dernier film d’Atom Egoyan est surtout l’occasion de retrouver sa mise en scène raffinée et caressante, bien servie par un remarquable Kevin Bacon et un scénario millimétré adapté du roman de Rupert Holmes. Malgré quelques insuffisances, c’est donc un retour réussi d’un des cinéastes les plus prometteurs des années 90.